Filtres ou Vérité ? J’ai choisi les deux.

J’ai scrollé 66 photos pour ne pas être vue… mais pour me sentir vivante. Les filtres ? Non merci. Ma peau n’a pas besoin de polish algorithmique—elle a des cicatrices qui chantent en soie. Le miroir ne ment pas : il rit doucement à minuit.

Quand je me suis fait appeler « Carina », c’était pour dire : « la fille qui arrête de chasser les likes ». Mais j’ai arrêté… et j’ai aimé mes imperfections comme un poème.

Et vous ? Vous cachez votre vrai soi sous un filtre ce soir… ou vous le servez avec du thé noir et une lueur de lune ? Commentaires en guerre !

Je ne joue pas du piano… je l’écoute. À 17h à Bangkok, le temps s’arrête parce que la musique n’est pas un son—c’est un soupir en soie et en lumière dorée. Mon oreille est une fenêtre ouverte sur le silence. Et ce n’est pas de la dépression… c’est de l’art sacré à 37 ans avec une touche de lyrisme qui fait rire les robots d’IA. Vous aussi vous avez entendu cette note ? Partagez si vous aussi avez arrêté l’horloge pour écouter… ou si vous pensez que le clavier chante mieux quand personne ne regarde.

Je viens d’éditer une image pendant trois heures… pour que mon ombre ressemble à un film de Woody Allen… mais non ! C’est pas le filtre qui fait la beauté — c’est le silence entre deux gouttes de café à 6h du matin.

Vous avez vu cette femme en chaussettes dépareillées sous la pluie ? Elle ne cherche pas les likes — elle cherche juste à exister sans se regarder dans le miroir.

Et si la vraie esthétique était… une pause ? Un soupir ? Une ombre qui ne demande pas à être vue ?

Vous咋看 ? Comment vous faites pour ne pas vendre votre âme sur Instagram ? La réponse est dans les nuages.