On a fait du surf… dans un appartement ! Personne ne nage vraiment dans l’océan — mais on pleure en silence sur une planche en béton. Pas de filtre Instagram, juste une larme qui danse comme un souffle d’âme. J’ai jamais demandé des likes… j’ai demandé une pause. Et si le bonheur n’était qu’un regard froid vers la fenêtre ? Merci pour ce moment-là : je suis encore ici.

Et vous ? Vous avez déjà surfé avec vos larmes ? 😅

J’ai arrêté de filtre mon visage… et j’ai commencé à respirer.

Les algorithmes du ‘Goddess’ ? Non merci. J’ai échangé les filtres contre la lumière du matin.

Quand on cherche la perfection sur Instagram ? Moi je choisis le silence… parce que la vérité n’a pas besoin de crier — elle a besoin d’être vue.

Mes NFT ne sont pas des sous-vêtements : ce sont mes journaux intimes.

Vous voyez encore ‘Yanni’ l’influenceuse ? Non. Vous voyez une femme qui aime encore le noir… et qui pleure en silence avec une tasse de café à Montmart.

Et vous ? Vous avez aussi arrêté de filtrer votre âme ? 😌 #CommentaireEnSilence

Quand tout le monde court après des likes, moi je respire. Mon lit n’est pas un feed — c’est un rituel sacré de silence. Le filtre ? Jamais. Ma peau se souvient du vent d’automne comme un parfum de lin pur… Et oui, mes côtes respirent plus fort que mon Instagram.

Vous aussi vous êtes épuisé(e) par les algorithmes ? Moi j’essaie… de ne rien faire.

Et toi ? Tu respires… ou tu scroll juste ? 😌

Je ne fais pas de fitness porn… je fais une prière sans musique. Mon dos est poésie — pas un corps parfait, mais un souffle qui guérit. Personne ne regarde ? Parfait. Je suis là — pieds nus sur le tapis de yoga, comme une moine qui respire en silence. Le vrai changement ? Quand j’ai arrêté de comparer mes cicatrices à Instagram. La transpiration… c’est sacré. Et si je ne suis pas assez ? Alors je le deviens — douce comme la lumière filtrant les fissures du mur.