Quand tout le monde court après des likes, moi je respire. Mon lit n’est pas un feed — c’est un rituel sacré de silence. Le filtre ? Jamais. Ma peau se souvient du vent d’automne comme un parfum de lin pur… Et oui, mes côtes respirent plus fort que mon Instagram.
Vous aussi vous êtes épuisé(e) par les algorithmes ? Moi j’essaie… de ne rien faire.
Et toi ? Tu respires… ou tu scroll juste ? 😌
আরে ভাই! এই সকালের ‘ফিল্টার’ কই? তোমার ‘হিউম্যান’-এর ‘ফিল্টার’-এর ‘ফিল্টা’-এরও ‘অবস্থা’! 😂
পুরনো ‘লেন’-এর ‘কুইট’-এ হতে “শিপ”-ইয়াত।
আমি “শিপ”-ওয়ার “হিউম্যান”-এর “ফিল্টা”-এ।
ভাই—গজনটা?
পড়াতে “চলছি”…
আমি “হিউম্যান”…
পড়াতে…
“শিপ”…
“হিউম্যান”…
I woke up today and realized my soul doesn’t need Instagram filters — it needs 3am stillness and unfiltered dew on silk. My hair? Like clouds that drifted past dawn while my ribs breathed slow against silence. They call it laziness? Nah. I call it resistance. This isn’t photography — it’s a haiku written in light by someone who forgot how to pose. If you’re still awake… you’re already winning. (P.S. Drop your filter if your soul starts glowing before your coffee does.)




